SOAD-re

Can wE tRy tO fLy ?

Jeudi 13 janvier 2011 à 23:44

Coupe, colle, fume.
Annihile la pensée
Toujours ça, ne pas penser avant de dormir.
Bien joué tu y arrive, pour encore combien de temps?

Lundi 10 janvier 2011 à 4:19

Tout ceci est écrit sans prétention, c'est écrit telle des notes sur une porté. Sonnorités plaisant a mon oreille.
Avec juste pour guide, l'envie d'enlever le poid, sur la conscience, sur le coeur, l'esprit.

Détestez, aimez, réagissez, peut importe.

Mais je me sens bien.. le reste ne m'interresse plus

Lundi 10 janvier 2011 à 4:10

Va te coucher pauvre fou.
Essaye de t'oublier dans les bras de morphée.
Va, va te convaincre du rêve,
ou alors rêve tes envies et pensées.
Peut importe au final.

Ta fausse sérénité s'évanoui dans l'obscurité,
Laissant place, sans grand choix au silence.
Tu n'y peux rien, et tu le sais.
Avance toi dans le couloir,
carresse une derniere fois la quiétude en ces lieux clos.

Tu fumera jusqu'a ne plus avoir conscience,
tu enfoncera ces écouteurs si profondement,
tu poussera le son de plus en plus fort.
Pensant le bruit plus fort que tes pensées.
Te glissant sous les draps froid,
Les remontant le plus haut possible.

Ce n'est pas de dormir seul qui te rend si mal,
C'est de devoir te répondre.

Samedi 8 janvier 2011 à 2:15

Un arbre tombant dans la forêt sans personne pour l'entendre fait-il du bruit?
Alors au fond du gouffe si personne t'entends, existe-tu?

Les souvenirs, vestiges d'un temps heureux. Vestiges d'une folie passagère, d'un goût d'amertume, pourant si essentiels et à la fois une tendance sadomasochiste si humaine.

Les mots me manquent, le coeur se serre, les flashs inondent ma tête, les mots qui claquent encore dans l'air, plus fort les uns que les autres, et ces lames dans la poitrine, joute verbale assassine.

On fera comme si de rien était pour ne pas laisser entrevoir le moment où l'on a été touché. Mise à nu forcé, elle devient cette personne si detestée.

Et puis les jours passent et on réapprend à se lever, on réapprend à marcher, et un jour biensûr on réapprendra à aimer, mais combien de temps encore referont nous ce chemin? Grandirons nous pour mieux chuter? Avalerons nous pour mieux digérer? Se sentir pousser des ailes pour mieux les brûler?

"Cette force qui fait qu'elle nous oublie"

L'amour infaillible et éternel est possible, seulement ce n'ai jamais au même moment, l'exception existe, mais la plupart du temps il se vit dans le regret et seul. Et le pire c'est de le savoir derriere nous. Mais quelque part, soyons heureux de l'avoir connu.

Samedi 8 janvier 2011 à 1:59

Qu'est-ce que je suis devenu.
Où est l'enfant à l'oeil brillant?
Le gamin pleins de rêves, écorchant ses genoux à la découverte du monde.

L'envie de changement.
Une envie telle, quelle ne s'applique que sur soi.
Oubliant même notre origine.

Aucun choc, aucun drame particulier. Et pourtant une amnésie pesante.

Conscient d'accepter ce que nous sommes, avoué qu'à demi mot.

Tombe le voile de la confiance, de l'optimisme, en même temps que s'enfui la lumière dehors.

Mais tout ça fait ce que je suis.

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